dimanche 25 mai 2008

INTRODUCTION

A partir du 20éme siècle est née une première vague de féminisme du à l’importance des femmes dans la première guerre mondial. Celle si réclame l égalité des sexes dans le travaille et la politique.Depuis toujours, des femmes et des hommes aux caractères bien trempés ont exprimé en chanson leurs blessures, leurs doutes, leurs revendications et leur sexualité. Dans le blues ou le jazz d’hier, certaines n’y allaient pas par quatre chemins pour se plaindre de la condition de la femme et revendiquer leurs insatisfactions, leurs désirs. Il suffit d’écouter "Don’t come too soon" (« Ne viens pas trop vite », de Julia Lee, 1949), ou "Big Long Slidin’ Thing" – « Le long truc qui coulisse » qui n’est pas forcément un trombone –, de Dinah Washington (1954), pour s’en convaincre. Mais ces chansons aux textes semi-cryptés s’adressaient aux seuls adultes avertis, et pas vraiment au « grand public », qui pourrais plutôt passer d’inoffensives bluettes romantiques. On est alors en possibilité de se demander dans quelles mesures les avancées du mouvement féministe se reflètent à travers la musique ?

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